Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 13:38

  1. La TNT

  Qu'est ce que la TNT ?

TNT est l'acronyme de la Télévision Numérique Terrestre. Il s'agit d'un système de diffusion audiovisuel qui permet aux foyers raccordés à une antenne « râteau » de recevoir une offre étendue de chaînes de télévision locales et nationales, gratuites ou payantes en qualité numérique. Par rapport à l'analogique, la technologie numérique permet de multiplier par 5 ou 6 le nombre de chaînes accessibles tout en bénéficiant d'une qualité de son et d'image inégalée.

 Équipement nécessaire  

Il faut être muni d’un adaptateur TNT, soit intégré à votre téléviseur, soit sous la forme d’un boîtier séparé.

Sachez que tous les téléviseurs vendus depuis le 5 mars 2008 sont obligatoirement équipés de l’adaptateur TNT intégré. Certains postes vendus antérieurement le sont aussi.
Pour tous les autres téléviseurs, vous devez brancher un boîtier séparé à votre téléviseur, via la prise péritel, et le relier au fil d’antenne. Attention, il vous faudra un adaptateur pour chacun de vos téléviseurs.

Si vous souhaitez pouvoir enregistrer sur votre magnétoscope un programme différent de celui que vous êtes en train de regarder, il vous faudra un adaptateur "double tuner".

Rappelons que seuls sont concernés les téléviseurs qui reçoivent la télévision par l’antenne râteau traditionnelle. Les postes raccordés à une parabole, au câble ou à une « box » fournie par un opérateur de services « triple play » continueront de recevoir les programmes sans changement.

Si vous recevez la télévision gratuitement par satellite, il vous est cependant d'ores et déjà possible de passer à la réception de la TNT gratuite, en achetant simplement un pack (carte d’accès et terminal) FRANSAT, ou un pack TNT SAT. Dans ce dernier cas, il faut faire réorienter votre parabole vers le satellite ASTRA.

 

2. Radios mobiles terrestres

VXD-7200

Passez facilement des communications analogiques aux communications numériques avec le mobile VXD-7200, qui permet les communications vocales et les transmissions électroniques de messages texte essentiells. La gamme de radio numérique VXD fonctionne avec la norme la plus couramment utilisée– DMR (Digital Mobile Radio – radio mobile numérique), ce qui la rend compatible avec les autres modèles et marques DMR. La gamme VXD peut également être utilisée avec des émetteur/récepteurs radio analogiques existants pour une migration douce vers le numérique et un retour sur investissement maximal.

Partager cet article
Repost0
15 août 2012 3 15 /08 /août /2012 14:20

     La technologie PWCS (Polyvalent Wireless Communication System),Brevetée en 2004

par un chercheur togolais, le Dr Victor Agbegnenou issue des technologies du groupe

Thales, utilise les hyperfréquences etse présente comme « une fibre optique à travers

  les airs ».

   Selon Lebon Ngounou, qui dirige la société camerounaise IdreamGroup en charge

de commercialiser cette technologie en Afrique, «le PWCSest l’alternative la plus

économique du marché pour résorber la fracture numérique en assurant une capacité et

  des débits comparables à ceux de la fibre optique pour un coût jusqu’à 10 fois inférieur».

 

   Le PWCS permettrait, selon son promoteur, d’offrir aux consommateurs africains du

triple play (internet à très haut débit, téléphonie et télévision) pour 15 000 FCFA par mois.

   Concrètement, le PWCS est une « technologie de ligne de vue », explique Lebon Ngounou :

« Cela signifie que le signal est transmis entre deux antennes – celle d’un émetteur et

celle d’un récepteur – et que le message ne passe entre ces deux points qu’en l’absence d’obstacle, comme un bâtiment ou un relief. En cas d’obstacle, on ajoute un relais.

Le récepteur est ensuite relié à l’utilisateur par câblage, optique ou non. L’abonné, muni d’un décodeur peut alors bénéficier d’une offre triple play.

 

     Chaque récepteur peut également devenir un émetteur relais, ce qui permet la création

d’un réseau dense et ce jusqu’au dernier kilomètre, souvent très cher à raccorder en fibre optique.»

Pour leur promoteur, la technologie radio nécessite peu de temps d’installation, contrairement à la fibre qui doit prendre en charge la réalisation de tranchées et donc le coût de travaux en génie civil.

   D’autre part, les antennes, qui ne mesurent «pas plus de 18 centimètres», sont disposées sur des infrastructures déjà existantes et ne nécessitent que rarement la construction de tours.

 

    Cette infrastructure peu coûteuse permettrait ainsi d’amener le très haut débi dans des

zones peu peuplées et de garantir un accès universel à peu de frais.
    Le procédé a déjà été testé en situation réelle à Auger Saint Vincent, à 50 km de Paris, précise M. Ngounou. Il équipe déjà l’université de Ouagadougou ou encore le siège de l’UEMOA.

 


Source : Agence Ecofin

Partager cet article
Repost0
8 juin 2011 3 08 /06 /juin /2011 19:15

A.    PARCOURS  DU  MALI  DANS  LES TIC

Le Mali a déployé l’un des plus grands plaidoyers politiques en faveur du développement des Nouvelles Technologies en Afrique.

Le Mali a participé à la première Conférence Internationale sur « l’Afrique et les Nouvelles Technologies    » organisée en octobre 1996 à Genève qu'il a coprésidé avec le Conseil d’Etat de la République et Canton de Genève.

Il a été aussi précurseur et l’organisateur d’autres grands évènements que furent la Conférence  Internationale de Bamako 2000 et la Conférence  Régionale Africaine préparatoire du Sommet Mondial sur la Société de l’Information (SMSI) qui a vu son élection à la tête du groupe africain et à la présidence du Comité Préparatoire de la première phase dudit Sommet qui s’est tenue en décembre 2003 à Genève.   

Par ailleurs, au cours de cette première phase du SMSI, le Mali a été à nouveau choisi pour représenter l’Afrique à l’exposition internationale ICT4D (TIC pour le Développement) qui a littéralement mis en exergue les potentialités de notre pays dans le domaine des TIC.

Dans le cadre de l’initiative « Société de l’Information en Afrique », (AISI), visant à mettre en place des Politiques et des Plans Nationaux d’Infrastructures Africaines de la Communication et de l’Information(NICI), initiative conduite par la Commission Economique des Nations Unies pour l’Afrique(CEA) et à la demande du Ministère de la Communication et des Nouvelles Technologies (MCNT), le Programme des Nations Unies pour le Développement(PNUD) et la CEA, ont fourni un Appui Technique et Financier pour conduire une étude générale sur les Technologies de l’Information et de la Communication(TIC) au Mali qui a abouti à l'élaboration des Documents de Politique Nationale  et du Plan Stratégique  National dans le domaine des TIC, adoptés par le Gouvernement en juin 2005.

La vision définie par les autorités est d’utiliser l’important potentiel des TIC pour atteindre rapidement les objectifs du Programme de Développement Economique et Social (PDES), prôné par le Chef de l’Etat, Programme qui tire sa substance du Cadre Stratégique de Croissance et de Réduction de la Pauvreté (CSRP, CSLP 2ème génération) et cela en parfaite harmonie avec les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD).             
La stratégie de mise en œuvre retenue par le Gouvernement a consisté à définir des secteurs prioritaires  pour les court, moyen et long termes.

Conformément à cette stratégie, le Ministère de la Communication et des Nouvelles Technologies a procédé à la mise en œuvre à travers l’Agence des Technologies de l’Information et de la Communication (AGETIC) des Documents de Politique Nationale et du Plan Stratégique National TIC dans les secteurs prioritaires suivants :

-  la Bonne Gouvernance et l’Intranet de l’Administration ;

-  la Popularisation de l’accès à Internet par la Connexion des Communes du Mali ;

-  l’Education et le Renforcement des Capacités.



B.  
CREATION ET MISSIONS DE L’AGETIC

Loi N° 05-002 /P-RM du 10 janvier 2005 portant création de l’AGETIC (avec le statut d’Etablissement Public à Caractère Scientifique et Technologique, doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière, conformément à la Loi de base 96-015 du 13 février   1996.) fixant et déterminant ses missions, ses organes d’Administration et de Gestion, son patrimoine et ses ressources.

-  Concevoir, développer et faire entretenir les infrastructures TIC des services publics, parapublics et des collectivités territoriales en entreprenant toute activité de recherche et de développement dans le domaine des TIC ;

-  Veiller à la mise en œuvre de la stratégie nationale  dans le domaine des TIC ;
-  
Elaborer le plan national pour la formation et le renforcement des capacités au sein des services publics et parapublics de l’Etat et des collectivités territoriales ;

Gérer le nom de domaine .ml ;

-  Participer à la mise en œuvre de l’accès universel et appuyer toutes les initiatives visant à l’appropriation des TIC par les couches les plus larges ;

Développer la coopération régionale, africaine et internationale dans le domaine des TIC.


D.    PROJETS

I. Bonne Gouvernance et Intranet de l'Administration

L’AGETIC a poursuivi la mise en œuvre du Projet Intranet de l’Administration qui vise à mettre en réseau  progressivement tous les Départements Ministériels et Services rattachés et leurs démembrements dans les régions en développant  des contenus et des applications sectoriels.
L’objectif global du Projet est d’assurer l’accès de l’Administration et des usagers aux TIC pour permettre la transparence et la circulation efficiente de l’information.
Le résultat attendu est de doter l’administration d’un out
il performant permettant :
-  
une communication plus efficace en temps réel (échange rapide de données et d’informations à travers un système de messagerie et d’espace collaboratif) ;

-  une accélération des prises de décision ;

-  un gain de productivité (réduction de temps, réduction des charges).



Réalisations :

Le Plan Opérationnel 2006-2009 du Programme de Développement Institutionnel (PO/PDI) a pris en charge la réalisation de la phase III dudit Projet, après la réalisation en 2004 et 2005 sur le Budget National des deux premières phases du projet .

Cette phase III prévoit l’extension du Réseau à 3 directions nationales et à 3 directions déconcentrées à raison d’une direction par an et par Ministère ou par région.

II. Vulgarisation des TIC par la Connexion des Communes du Mali

Objectif Global

Procéder au désenclavement numérique progressif des communes du Mali en vue de :
-  
renforcer le processus de décentralisation ;

-  assurer la promotion des initiatives locales de développement;

- élaborer et mettre en œuvre un plan d’appropriation des TIC par le plus grand nombre de Maliens (Accès populaire) ;

-  développer des contenus (état civil, carte d’identité numérique, gestion du patrimoine foncier, etc).


III. Education et Renforcement des Capacités (Projet de Connexion à Internet des Etablissements Scolaires du Mali -CYBER-EDU)

Objectif Global

-  Œuvrer à l’émergence d’une pédagogie numérique ;

-  Assurer et généraliser l’enseignement à distance.


PERSPECTIVES

Certes des résultats ont été atteints mais les résultats attendus pour la période attendue  ne sont pas à la hauteur des attentes.

De nos jours plusieurs projets sont restés à l’état expérimental ou ils sont inachevés , ne bénéficiant pas de suivi, mettant en danger leur pérennisation.

Des reformes s’imposent au niveau des structures habilitées à mener ces politiques des TIC au MALI en vue de devélopper une synergie entre les différents acteurs impliqués.

 

Partager cet article
Repost0
5 mai 2010 3 05 /05 /mai /2010 13:28


Voici comment écrire une lettre majuscule avec un accent : 

 

É: <Alt + 0201> ou É = alt 144

È: <AltGr + `> ,<Shift+e> ou È = alt 212

Ê: <^> ,<Shift+e>

Ë: <¨> , <Shift+e>

À = alt 183

Ç = alt+128

Ć = alt 262

Đ =alt 272

Ñ = alt 165

Ö = alt 153

Ú = alt 233

Û = alt 234

Ù = alt 235

Ü= alt 15

Ý = alt 237

Ž = alt 381

Pour les accents grave et circonflexe et le tréma, cela fonctionne aussi avec les autres voyelles (Ì, Ö, Â...)

¿ = alt 168

¬ = alt 170

¯ = alt 238

· = alt 250

¯ = alt 713

® = alt 169

© =alt 184

Θ Ξ = alt 920 & 926

½ = alt 171 

¼ = alt 172

¾ = alt 243

º = alt 248

¹ = alt 251

² = alt 253

³ = alt 252

« » = alt 174 & 175

¢ = alt 189 

¥ = alt 190

ß = alt 225

µ = alt 230

þ = alt 231

Ί = alt 906

Þ = alt 232 

Δ = alt 916

Ώ = alt 911

Ω = alt 937

ƒ = alt 402 

? = alt 416 

Λ alt 923

Π = alt 928

Σ = alt 931

Φ = alt 934

Ψ = alt 936

 

Partager cet article
Repost0
30 juillet 2009 4 30 /07 /juillet /2009 16:57

   Méconnaissance des processus de recyclage dans les pays riches, coût prohibitif de "l'éco participation" pour les entreprises et les particuliers, besoin criant d’ordinateurs au Sud et marché florissant de l’occasion, douanes "poreuses" en Afrique, absence d'informations sur les conséquences écologiques du recyclage sauvage : ce sont quelques unes des pistes à creuser dans le cadre de l'enquête participative en cours sur les déchets électroniques en Afrique francophone.

 

   Cherche mode d'emploi pour jeter vieil ordinateur.....

Premier constat, étonnant, en provenance de France : il n’est pas si simple, loin de là, de jeter « proprement » ou de donner son ordinateur à une association sans risquer qu’elle-même se retrouve avec un déchet sur les bras. Le témoignage de Marie, qui habite Clamart « charmante petite ville dans la proche banlieue de Paris », est de ce point de vue très éclairant. « J’ai deux ordinateurs complets (unités centrales plus écrans) qui ne fonctionnent plus, selon moi, et dont je veux me débarrasser », dit-elle. "Quelle est la meilleure solution ? Recyclage ou don du matériel à une association qui sera en mesure de le réparer et de le réutiliser ?" 


   
Or, malgré toute la bonne volonté de Marie et son assiduité à se renseigner sur les dernières législations en vigueur en Europe, - « une norme européenne oblige, depuis 2005, les ménages à recycler leurs déchets numériques au lieu de les jeter à la poubelle » -, il s’avère bien compliqué de se débarrasser de ces vieilles machines dont Marie ne sait pas si elles peuvent encore servir ou pas : « Je me suis donc ensuite adressée à ma ville, qui, selon la norme européenne, est censée mettre en place une collecte des déchets numériques, et se charger de leur remise en marche pour envoyer le matériel à des associations qui en ont besoin, ou de le recycler. Mais une telle initiative n'est absolument pas mise en place à Clamart et la plupart du temps les gens jettent leurs vieux ordis sur le trottoir avec les encombrants, sans faire de tri. La seule solution pour moi est donc de trouver une association qui s'occupe de remettre en état les vieux ordinateurs pour les réutiliser. Mais je ne suis même pas en mesure de leur garantir que mon matériel est encore valide ».


"Tout" envoyer en Afrique ou trier avant... encore une question délicate

   Si Marie continue de chercher des solutions pour ses ordinateurs, Didier, lui, est sur un autre registre. Bien conscient du besoin en informatique des pays africains de la zone, exprimé, entre autres, dans notre forum par Stéphane, il récupère auprès de son entreprise des ordinateurs qui peuvent encore servir. Mais, contrairement à Damala, dont vous pouvez retrouver l'interview ici, il ne les teste pas, car au Bénin, des « ingénieurs » se chargeront de les remettre dans le circuit d’une manière ou d’une autre.

Une méthode approuvée par certains des participants à la discussion, comme Abani Ali Hamza qui, depuis Zinder au Niger, pense que "l'Afrique doit plutôt profiter de cette aubaine que constituent les articles d'occasion en provenance d'Europe ou d'autres pays mieux nantis ", Mara, d'Abidjan en Côte d'Ivoire, qui rappelle que « 99% des cyber cafés sont équipés de ces ordinateurs de "seconde main" et ( que) de nombreux Ivoiriens ne touchent à l'ordinateur pour la première fois que dans des cybers... » ou encore Stéphane, pour qui " force est de constater que ces ordinateurs nous aident énormément ! ».


   
Mais l'envoi de matériel informatique non testé pose de sérieux problèmes dans des pays où, Didier l'admet lui-même, certains responsables d'associations sont obligés de louer des espaces pour en faire des déchetteries informatiques "sauvages". Ce qui fait dire à Chantal, vice-présidente de l'association Al Amal de Zagora au sud du Maroc que « beaucoup de matériel et de machines sont acheminés, c'est vrai, mais sur 10, eh bien 7 ne marchent pas et deviennent des déchets de plus. »

Pour traiter ces déchets, rien ou presque n’est prévu dans les pays, à l’exception notable du Burkina Faso où les Ateliers du Bocage recyclent effectivement les ordinateurs inutilisables. Initiative assez exceptionnelle pour que Philippe nous la signale dès le début de notre enquête, expliquant que l'association « recycle le matériel en générant des emplois sur place et re-expédie le matériel non traitable en France (en attendant mieux) ». Membre de l'atelier des médias et des Ateliers du Bocage, Sanou a posté sur sa page une série de photos sur le sujet. Mais pour une association de recyclage, combien d’ordinateurs jetés à la décharge sans précaution ? L’organisation Enda Ecopole a entamé un recensement des déchets électroniques dans les décharges de Dakar et confirme leur présence de plus en plus alarmante.

 « Heureusement qu'il y a des recycleurs qui font le tri dans les décharges moyennant quelques pièces pour revendre en ville. »  Amadou Diallo (Coordinateur de l'association Enda Ecopole)


    Que faire avant d’en arriver à la situation du Ghana où certaines décharges comme celle "d’Agbogbloshie market" sont exclusivement destinées à ces déchets ? Nyaba Ouedraogo est photographe, il a travaillé sur la décharge d’Agbogbloshie où les conditions de « recyclage » sont effrayantes.

« Les enfants ressentent des maux de tête et des troubles respiratoires qui les empêchent de dormir, mais ils ne savent pas d'où ça provient. » Nyaba Ouedraogo (Photographe).

 

   
A ce stade de notre enquête, la question qui se pose est bien de savoir à qui profite « le crime » ? A « certaines compagnies occidentales qui voient en cela un moyen plus avantageux c'est-à-dire moins coûteux. Car les envoyer à la casse surplace reviendrait plus cher », comme le pense Abdramane ? "A des revendeurs sur place qui revendent plus cher du matériel parfois récupéré gratuitement ou presque," comme le pense Karim? ("Quand aujourd'hui, un même objet qui coûte 10 euros, vaut en Afrique 80 euros seulement par le fait qu'une mauvaise politique fiscale est instaurée sous prétexte de renflouer les caisse de l'Etat !" ) A certains notables bien placés qui profitent de leur position pour s’équiper à moindre frais comme en témoigne Emmanuel, qui prend en exemple "le cas du Cameroun et de l'université de Douala, lorsqu'en 2004 les ordinateurs portables de seconde main arrivaient au campus pour les étudiants (et que) les doyens dudit établissement les prenaient pour revendre !" .« Une chose est sûre : il y a de plus en plus d'importations d'ordinateurs vétustes à Abidjan", nous raconte Sikiri. " Vers 14 h heure locale, aujourd'hui j'ai aperçu plus d'une centaine de ces vieux "ordis" à vendre à 250 000 CFA l'unité à débattre". Il nous « laisse le soin d'apprécier... »


Les axes de recherche pour la suite

   Au point où nous en sommes, quelles questions restent posées ? Stéphane demande « pourquoi, déjà, les douanes européennes laissent passer ces ordinateurs ? » "De l'autre côté", Saturnin atteste de l’absence de vérification aux frontières. "Outre les appareils de vérification, la douane en Afrique est poreuse, mal organisée avec un désordre absolu. Les pays du Nord profitent de ses faiblesses pour nous envoyer les déchets", en conclut-il. Enfin, Emmanuel aborde la question essentielle de l’information des populations sur les dangers de ces déchets. Mais comment ? Par internet ? Ou avec les ordinateurs écologiques que nous signale Lisa "à bas prix, plus accessibles et qui peuvent fonctionner dans des conditions plus précaires.

Autant d’axes à emprunter pour poursuivre ensemble cette enquête. Et pour vous y aider, retrouvez sur le site de l'atelier des Médias une liste de liens et de documents à consulter. Ainsi que les interviews de tous nos interlocuteurs ( Amadou Diallo, Enda Ecopole ; Damala, responsable d'association ; Didier, président de Cultures sud) dans leur intégralité.

 

    Un document est également disponible (lié à cet article) avec la liste des programmes et des projets en cours et le point sur les axes déjà empruntés lors de ces premières semaines d'enquête.

 

Partager cet article
Repost0
20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 17:17

 

 

SIDIKI IBRAHIMA TOURE

Email:sitoure@gmail.com      Téléphone: 00223 66 81 42 00

Blog: http://sitoure.over-blog.com

État civil

 

Situation de famille : Marié

Ø    Nationalité : Malienne

Ø    Âge : 47 ans

Ø    Lieu de naissance : Bandiagara (MALI)

Ø    Parents : Feu Ibrahim O. Touré et Feue Diouma A. Touré

Objectifs

 

Vulgarisation et appropriation des TIC au MALI. Acquisition, échange

et transfert de compétences dans le domaine des Technologies de

l’Information et de la Communication (TIC).

Formation

 

2003  UNIVERSITE DJILALI BEL ABBES  DE SIDI BEL ABBES,

ALGERIE

Très Bien

Ø   INGENIEUR EN INFORMATIQUE DECISIONNELLE

« Informatique Décisionnelle : Utilisation des données transitant

par le Système d'information, données de production le plus

souvent, en informations susceptibles d'être exploitées à des

fins décisionnelles. » 

Autres diplômes 

 

Diplômé:

* 1998 d’un Diplôme d’Etudes Universitaires Appliquées (Licence)

à l’USTHB d’Alger (ALGERIE).

* 2000 d’une attestation de Maintenance Informatique en Soft et

Hard à l’USTHB d’Alger (ALGERIE).

* 2006 d’une attestation en Installation Linux/Ubuntu dans

l’environnement d les Logiciels libres et standards ouverts du

Canton de Genève (Suisse).

* 2006 d’une attestation de Formation des formateurs sur le

Curriculum Unillimited Potentiel (UP) et OPEN eNRICH.

 

* 2008 : Participation aux séminaires de mise en ligne sous

SPIP au campus de la Francophonie.

 

 - Formation à l’administration et à la mise à jour de site Web.

*2009 d’une Attestation en Gestion des Ressources Humaines

 de l’UFAEGO de Bamako (MALI).

Expérience PRATIQUE

 

 Cursus universitaire

Ø Conception et réalisation d’un système de Gestion de matériels

sous Windev (thème  de mémoire).

Ø Conception et réalisation d’un système de Raisonnement à

base de cas (Informatique Décisionnelle) dans le domaine du

Data Maining en Intelligence artificielle en 2003 (thème  de mémoire).

v  2010 (novembre) Formateur des responsables de « Orange  MALI »

en MS Projet.

v  (2008-2012) Chargé de cours Chargé de modules informatiques au Centre

  d’Etudes et de Formationen Informatique et Bureautique (CEFIB) et

  à l’Institut Africain de Management IAM (Bamako-MALI).   

 

(2014) : chargé de cours de soir en « Impact des Tics et Knowledge

Management » pour les BBA Pro, et « Management des Systèmes

d’Information Organisationnel » pour les MBA à l’IAM Bamako.

 

 

 


Références professionnelles

 

A 

 

 

 

 

 


      

 

 

 

 

 

 

 B

 

ORTM

A partir de Décembre 2012 :

Ø  Chef de Service Informatique & NT dont les missions sont les suivantes :

-          Application de la politique des TIC au sein de l’entreprise (élaboration de

projets dans tous les secteurs concernés par l’informatique)

-          Etude de l’existant (état du réseau informatique, état parc  informatique,

logiciels et systèmes d’exploitation et applicatifs)

-          Etudes de conception de services TIC (Internet, Intranet, Workflow)

-          Assistance technique (installation du LAN de l’ORTM, interconnexion avec

les sites distants via le « Filezilla »)

-          Formation (renforcement de capacités du personnel : informaticiens, 

cadres et agents)

-          Maintenance préventive du parc informatique.

Août à Décembre 2012 :

Ø  Chef de la cellule Réseaux Informatiques avec Rang de Chef de Division ; 

Avril 2007 à août 2012 :

Ø  Chef de Section Informatique en charge de la gestion du parc informatique

de L’ORTM.

 

  AGETIC: 2005-2006  

    Responsable du CENTRE NATIONAL DES RESSOURCES TIC

 - Harmonisation et suivi des initiatives des Projets TIC des

Partenaires Techniques au Mali; avec une mise à jour de leur couverture.

 - Formation des bénéficiaires, des gestionnaires et des techniciens des

  CMC au Mali;

 

C- Coordinateur malien de la Conférence NOVATECH Bamako-2006

sur les Technologies de l’Information et les  télécommunications

en Afrique de l’Ouest et du Centre.

APYDOS AFRIQUE SA 2004 

Ø Étude d’ingénierie et de Conception de Système d'Information (cas du

CHU du Point G et de la DGMP au Mali;


D MICRONET INFORMATIQUE 2003

ØMaintenance de matériel et  réseaux informatiques.


 

 

Résumé des compétences

 

 

·         Etudes et conception et élaboration de cahiers de charge de projets informatiques

·         Conception et réalisation de systèmes informatiques;

·         Installation et configuration de réseaux informatiques

·         Renforcement de capacités en informatique;

      Maintenance Soft et Hard ;


 

Loisirs et intérêts personnels

 

       Les TIC, la lecture, le sport et les forums d’échanges.

Langues

 

Français : langue d’études et de travail ; niveau : Très bien

Anglais : langue d’études ; niveau : Moyen

Arabe : bonne lecture; niveau : Moyen


 

Activités communautaires

 

 

Vie associative

 

Distinctions reçues

 

 

Diplôme d’honneur de l’Université de SIDI BEL ABBES en ALGERIE.

 

 

 

Partager cet article
Repost0
8 juillet 2009 3 08 /07 /juillet /2009 18:25

E- CONSULTING

NOS PRESTATIONS

FORMATION

Formation en informatique :
1) Initiation en informatique:
- MS Windows (toutes versions),
 - MS Word (versions 97 – 2010),
- MS Excel (versions 97 – 2010).


2) Amélioration:
- Power Point,
- MS Office Publisher.


3) Initiation aux SGBD
- MS Office Accès.


 4) Gestion de Projet
 - MS Office Project.
         
APPLICATIONS INFORMATIQUES ET SITES WEB
- Création de sites Web,
- Réalisation d’applications informatiques,
- Développement d’applicatifs WEB,
- Création de forum de discussion ;
- Participation aux forums de discussion ?
- Formation de Webmaster pour la mise à jour du site.
 
ASSISTANCE TECHNIQUE
- Audit des réseaux informatiques et de Systèmes d’information,
- Conseils sur les caractéristiques techniques des matériels informatiques,

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
23 avril 2009 4 23 /04 /avril /2009 10:30
 
   
   
   
Partager cet article
Repost0
7 avril 2009 2 07 /04 /avril /2009 09:34
Mise en forme automatique avec l’utilisation du clavier

Pour mettre en gras, italique ou souligné le texte sélectionné, il vous suffit simplement d'utiliser les raccourcis clavier suivants : Ctrl + G, Ctrl + I, Ctrl + U. Utilisez une nouvelle fois ces raccourcis pour revenir au style normal.

 

Augmentez rapidement la taille de la police

Dans Word, PowerPoint, Front page et Publisher, vous pouvez augmenter ou réduire rapidement la taille de la police d'un texte d'un simple raccourci clavier.
Pour cela, sélectionnez le texte dont vous souhaitez modifier la taille puis pressez simultanément sur les touches Ctrl, Shift et < pour le réduire. Pour l'augmenter, il suffit simplement de pressez simultanément sur les touches Alt Gr, Shift, >.

 

Utilisez vos images comme puces

Pour personnaliser vos documents Word, il est possible d'utiliser vos propres images en tant que puces. Pour cela, saisissez votre texte normalement avec les puces classiques. Une fois la saisie terminée, sélectionnez tout votre texte à puces puis cliquez avec le bouton droit de la souris sur le texte surligné puis choisissez la commande Puces et numéros. Dans l'onglet Avec puces, cliquez sur le bouton Images...
Choisissez alors une image dans la galerie de clip arts de Microsoft, puis cliquez sur le bouton Insérer le clip en haut du menu contextuel. L'image est alors automatiquement insérée à la place des puces classiques.
Pour utiliser vos propres images, il faut au préalablement les importer dans Clipart Gallery par le bouton Importer les clips.

 

PASSER SON TEXTE EN MAJUSCULES/MINUSCULES – WORD

Si vous avez un texte dans Word en minuscules et que vous souhaitez le passer en majuscules, ou vice-versa, Word met à votre disposition une fonction prévue à cet effet.
Tout d'abord, sélectionnez le texte pour qu'il apparaisse en surbrillance, puis rendez-vous dans le menu déroulant Format et cliquez sur la commande Modifier la casse.
Plus rapide encore, une fois votre texte sélectionné, appuyez simultanément sur les touches Maj et F3 de votre clavier.

 

Pour passer automatiquement la première lettre d'un mot en minuscule en majuscule, sélectionnez le mot en question puis appuyez sur les touches Maj + F3. En effectuant une seconde fois cette combinaison de touches, le mot sélectionné se retrouvera entièrement en majuscule. Enfin, effectuez une troisième fois la combinaison pour retrouver le mot d'origine en minuscule.

 

VISUALISER PLUSIEURS DOCUMENTS SIMULTANEMENT – WORD

Il est parfois pratique de pouvoir visualiser en même temps deux documents. Au lieu de redimensionner les fenêtres des deux documents manuellement, vous pouvez demander à Word de le faire automatiquement.
Ouvrez les documents à visualiser simultanément puis cliquez sur le menu Fenêtre puis sur la commande Réorganiser l'écran. Les documents se partagent alors équitablement l'écran.

 

TRAVAILLER EN MODE PLEIN ECRAN SANS PERDRE LES BARRES D’OUTILS WORD

Le passage en plein écran, qui se fait par le menu Affichage puis Plein écran fait également disparaître les barres d'outils. Pour les afficher tout de même, placez le curseur de votre souris en haut de votre écran pour faire apparaître les menus puis cliquez sur Affichage puis sur Barre d'outils. Choisissez alors les barres d'outils à afficher. Par défaut, toutes les barres d'outils s'affichent à la même hauteur. Cliquez dessus puis faites les glisser pour les déplacer à votre guise. Appuyez sur le bouton Fermer le plein écran pour revenir à l'affichage standard.

 

Retrouver l'endroit de votre dernière modification – Word

Lorsque vous travaillez sur un long document, il n'est pas évident de retrouver facilement l'endroit de votre dernière modification. Vous passez en effet votre temps à parcourir en long, en large et en travers votre document pour le trouver.
Heureusement, Word enregistre les trois derniers emplacements où vous avez modifié du texte dans votre document. Appuyez alors simultanément sur les touches Maj et F5 pour placer le curseur à l'endroit de votre dernière modification. Pour passer aux endroits précédents, appuyer de nouveaux sur ces touches.

Protégez un document Word par mot de passe


La dernière version de Word comporte une fonctionnalité permettant de protéger efficacement un document Word des regards indiscrets en y appliquant un mot de passe à l'ouverture ce celui-ci.
Pour cela, une fois votre document Word ouvert, allez dans le menu Outils puis Options. Dans la fenêtre qui apparaît à l'écran, rendez-vous dans le menu Enregistrement. Saisissez votre mot de passe dans le champ de saisie prévu à cet effet, puis cliquez sur le bouton Ok. 

 

Travailler sur deux parties d'un texte

Pour afficher deux parties d'un texte sur un même écran dans Word, utilisez le raccourci clavier Ctrl + Alt + S. Une ligne coupant en deux votre écran apparaît. Déplacez-la pour régler les dimension des deux parties. Vous pouvez maintenant travailler sur deux partiex de votre texte en même temps.
Pour annuler le fractionnement, faites glisser la ligne tout en haut ou tout en bas de l'écran ou bien allez dans le menu Fenêtre et cliquez sur Annuler le fractionnement.

Partager cet article
Repost0
27 mars 2009 5 27 /03 /mars /2009 09:52

  Y-a-t-il un ordinateur quelque part dans votre école, votre lycée, votre université d'Afrique francophone ? La réponse est très souvent négative. Mais elle lance la discussion sur l'accès des écoliers, des enseignants, des étudiants africains aux savoirs diffusés sur internet. A quelles conditions un projet de développement des TICE, Technologies de l'information et de la communication pour l'enseignement, comme disent les spécialistes est-il adapté aux besoins sur place ? Quels sont les obstacles ? Les facteurs de réussite ? Le point sur la question, avec vos témoignages.

Y-a-t-il un ordinateur dans la classe ?

 Des étudiants sénégalais travaillent sur des ordinateurs, le 17 novembre 2004, sur le campus digital francophone de Dakar (CNDF).

    Entre les grands discours sur la réduction de la fracture numérique dans les écoles africaines et la réalité du terrain, ces témoignages résonnent en effet d’un écho particulier. Pourquoi ? Parce que si l’on pouvait s’attendre à ce que la majorité des témoins nous répond directement que « non, il n’y a pas d’ordinateur dans la classe », qui, à part la responsable d’une association de terrain du Burkina Faso aurait pu dire que « les lycées sont souvent équipées de salles informatiques neuves mais dont personne ne peut exploiter les ressources, faute de formation. Dans la plupart des cas même ces salles sont fermées » ? Ou que « des universités ont investi dans l'achat du matériel informatique comme l'université de Kinshasa, sans que ce matériel soit utilisé réellement à de fin d'enseignement/apprentissage... ».

    Qui mieux que ceux qui sont dans les écoles africaines peuvent nous expliquer la réticence de certains professeurs à faire des heures supplémentaires « au lieu de donner des cours particuliers qui leur rapportent un peu d’argent » ? Qui, mieux que Martin, enseignant et formateur sur le campus numérique francophone de Kinshasa peut raconter comment certains enseignants ne veulent pas mettre leurs cours en ligne « à la disposition de tous » ?

Martin

Enseignant et formateur sur le campus numérique francophone de Kinshasa

« Il y a une pratique courante des enseignants qui est celle de vendre leur cours aux apprenants

   Où aurait-on pu lire que, non seulement dans la plupart des pays sondés il n’y a  pas de réseau électrique digne de ce nom, mais en outre que, selon Philippe, au Burkina « les fortes amplitudes (du réseau ndlr) grillent nombre de modems et de cartes-mères » ? Qui, encore, pourrait témoigner de l’enthousiasme des jeunes enseignants et formateurs qui, comme Assane au Sénégal, « profite de ces vacances pour donner une semaine de formation aux formateurs dans mon ancien lycée de Dakar » ?

   Qui pourrait raconter l’ingéniosité des professeurs qui passent par les cybercafés pour travailler en réseau avec leurs élèves ? Et qui pourrait, dans un autre pays, répondre que « s'il ya des recherches à faire tu dois passer par le gérant du cyber pour qu'il le fasse pour toi et tu dois le payer pour ça aussi ». Qui ? A part vous ?

   Ce ne sont que des exemples. Les participants à cette enquête écoutent et commentent aussi les interviews réalisées avec des « experts de la question » et là encore, la confrontation est passionnante. Argumentés, documentés ou simplement issus d’expériences vécues sur le terrain, ces contributions nous apportent la matière d’articles que nous ne pourrions pas écrire autrement. Soyez en remerciés. De notre côté, nous préparons la publication du premier épisode de cette troisième enquête participative.

                                                                                                                                                                                      Source: RFI

Partager cet article
Repost0